jeudi 29 janvier 2009

Socrates se dit victime d'une campagne de dénigrement

Le Premier ministre portugais a considéré aujourd'hui être face à une campagne de dénigrement qui comme objectif d'affecter son honneur et son intégrité et il a cité le communiqué de la Procureur-Générale de la République divulgué cet après midi pour réaffirmer son innocence dans le cas Freeport.

"Je sais bien que cela est un test de résistence, mais ce n'est pas de cette manière qu'on me bat. En démocratie ne peuvent pas vaincre ceux qui utilisent des armes de calomnie", a affirmé le premier ministre, José Socrates, dans une déclaration dans sa résidence officielle de São Bento.

"Je ne me place pas dans la position de suspect", a dit José Socrates, ajoutant ne pas être la première fois qu'il passe "par cette provocation" d'avoir à affronter une "campagne de dénigrement", qui utilise les mêmes techniques de toujours.

"Ce n'est pas la première fois que je passe par cette provocation, avoir à affronter une campagne de dénigrement et avec les techniques habituels, les techniques de toujours, les techniques de detournement et insidieuse, avec objectif d'affecter mon honneur et mettre en cause mon intégrité personnel", a-t-il souligné.

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