Le Premier ministre portugais José Socrates a affirmé aujourd'hui à Bruxelles que le gouvernement portugais a répondu à la succession de crimes violents qui a crée un sentiment d'insécurité au Portugal et a réfuté les critiques à son silence, sustentant que "parlait qui devait parler".
"Le gouvernement a répondu à la situation", a dit Socrates, pointant que "ce qui se demande, c'est d'agir, beaucoup plus que de parler", et que l'éxecutif portugais "a parlé par la bouche de qui il devait", nominativement le ministre de l'Administration interne, Rui Pereira.
Socrates parlait à Bruxelles en marge d'un sommet des chef d'Etat et du Gouvernement d'union européenne, après les nombreuses critiques des parties d'opposition pour son silence relativement à l'augmentation de l'insécurité au Portugal.
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