La crise financiète est déjà en train d'atteindre le Portugal. Hier le président de la Comission du Marché des Valeurs Mobilières (CMVM) a alerté du fait que "nous ne pouvons pas présumer que le Portugal ne sera pas affecté et qu'il n'existe pas de problèmes."
Carlos Tavares a affirmé "qu'il fallait rester prudents. Nous devons avoir plus de transparence. Il vaut mieux savoir ce qui existe. Nous ne pouvons pas à peine parler de la crise des "surprimes" américaines. Le problème s'est élargi vers d'autres instruments financiers, comme c'est le cas des titres de rendement fixe (obligations)."
Selon ce responsable, "il ne faut pas sous-estimer les risques et ne pas dire que tout va bien". Carlos Tavares a avancé qu'il n'existe pas de signes du marché qui montrerait que les "clients sont nerveux".
Hier même, la BPI (banque portugaise d'investissement) a décidé d'arrêter un fond d'investissement immobilier, garantissant, le paiement de tout le capital investit, augmenté d'une petite rémunération.
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